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[Chef des Malemorts] Alastair D'Ancasail
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Tawën
Âge : 27
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Messages RP : 211
Date d'inscription : 30/12/2014
MessageSujet: [Chef des Malemorts] Alastair D'Ancasail [Chef des Malemorts] Alastair D'Ancasail EmptyDim 26 Juil - 13:07
Alastair D'Ancasail

Le Mande-Mort
Personnalité
Identité
[Nom] : D'Ancasail
[Prénom] : Alastair
[Âge] : 352 Ans
[Genre] : Masculin

Informations
[Métier] : Esclavagiste
[Race] : Goule
[Peuple] : Seda
[Classe Sociale] : Paysan
[Alignement & notoriété] : Impartial / Anodin

Personnage non jouable par les joueurs
Utilitaire
[Sort] : Appel des Ombres
Bonus : Manipule les ombres / Entrave
Malus : Immobile pour incanter / sans défense
[Arme] : Poignard / Arc court
[Objet] : Fiole à peste

Liens
[Andraha Seme]
Connaissance

[Harold Leynthall]
Connaissance
Famille/Guilde/Clan
[Malemorts]
Guilde consacrée à la liberté des non-morts

Caractère

Soif de connaissance, Alastair est curieux de nature. Il se consacre aux études de la Création mais n'hésite pas à défendre ses idéologies. Fort de caractère, il aime l'ordre des choses et la perfection. Bien que réservé, Alastair peut faire preuve d'affabilité et de courtoisie. Attention, il est fourbe et rancunier. L'injustice et l'obscurantisme le mettent hors de lui.


Physique

Comme ceux de sa race, Alastair vacille entre le rouge et le bleu. Il a le teint caucasien, d'une taille moyenne pour une silhouette élancée. Il porte les cheveux mi-longs bruns et souffre de nombreuses balafres. Son visage creux et les cernes trahissent sa véritable nature.


Histoire

Elle bougeait son corps contre le sien. Ses mouvements irritaient la peau d'Alastair. Remuant sous elle, il tentait de se remémorer son nom. Sonia, peut-être. Une fille d'ambassadeur, formée pour diriger un jour, dans la grâce et la bienséance, qui vendait son corps à un roturier afin de tuer le temps. Un jeu que les hautes sphères pratiquaient depuis que le pauvre est pauvre et que le riche est riche.
— Vous n'avez pas l'air d'apprécier, Monseigneur. Devrais-je m'appliquer plus en profondeur ? murmura-t-elle en s'enfonçant plus encore sur son membre.
Ah oui ! il était censé y prendre du plaisir. Une chose bien délicate qu'il n'avait plus fait en trois cent cinquante-deux ans d'existence. S'il ne parvenait pas à mystifier cette gamine, jamais il ne convaincrait l'ambassadeur de rallier sa cause. Il sourit et empoigna ses seins, convaincu qu'une ruse si grossière estomperait cet embarras. Pourtant, non. Elle accéléra le rythme. La crainte lui crispait le visage. Avait-elle si peur d'échouer son petit jeu ? Elle lui rappelait l'une de ces filles lors de la révoltes des Brumeux. Des assassins surentraînés aussi séduisants que dangereux. L'idée de replonger trois cents ans en arrière lui arrachait un sourire ironique. Les muscles finement sculptés de ses bras se raidirent contre lui. Elle y prenait du plaisir. Elle battit des paupières avant de les fermer, s'allongeant contre son torse.
Souviens-toi du type de potion que Lewin t'a confiée. C'est le moment d'attaquer pendant qu'elle somnole.
Il avait conscience de la hantise de cet acte. Une vision qui pèserait sur sa mémoire pour la nuit des temps. Il regrettait ce temps où, reclus, il étudiait dans les ruines de cette académie. Le canyon lui manquait terriblement. Mais il le fallait pour le bien de la mission, pour le bien de son peuple. Sonia grogna sous ses reptations, incapable de distinguer le danger imminent. Un sursaut la secoua. Elle hoqueta. Le mal avait été fait.

— Là. Tout va bien. C'est fini, maintenant... la borda-t-il, le visage maculé de sang.
Il s’extrayait de sa partenaire encore chaude et poussa le cadavre en bas du lit. Il lâcha un râle de liberté. Cet ennui mortel venait de prendre fin. Il se leva et se rhabilla tranquillement, contemplant l'auréole de sa culpabilité noircir peu à peu le sol. Il se pencha délicatement sur ce beau visage effrayé, et lui dégagea les mèches blondes qui lui collaient au visage. Sans fignoler davantage, il extirpa la fiole verdâtre de sa besace et en versa le contenu dans la gorge tranchée de Sonia. Il lui sourit tendrement, comme une mère à son enfant.
Alastair se releva brusquement, empoignant le couteau qui venait de sévir récemment. Il déglutit le reste de viandes collées à la lame avant de la lancer au travers d'un vitrail. La preuve irait se noyer inéluctablement dans le cour d'eau, effaçant l'horreur imprégnée de cette chambre. Il contempla derechef le corps sans vie de la jeune fille, avant de se débarbouiller le visage dans la fontaine dressée au centre de la suite. Il espérait qu'aucun garde n'intervienne. Une patrouille serait de trop pour un Appel des Ombres. Il n'en avait pas la force. Puis, il était là pour affaire. Trouver un accord avec cette province des Murmures. Il avait déjà bien assez sur les bras avec la contrée des Templiers. Se mettre à dos une seconde région ne lui était en rien bénéfique.

Un bruit mat le fit tiquer. Il se retourna, le visage serein et le regard affable. Sonia se dressait devant lui, encore vertigineuse. Elle n'était pas habituée à son nouveau corps, à sa nouvelle vie.
— Qu'avez-vous fait ? Qu'est-ce qui m'arrive !
Alastair posa sur ses lèvres pulpeuses son index, et lui caressa la joue de l'autre main.
— Bienvenue chez les Malemorts, ma chérie. Désormais, la non-mort est tienne.
La jeune goule hurla de rage, les yeux auréolés d'un bleu profond. Elle renversa un vase et se mit à frapper le torse de son assassin.
— Pourquoi ! Je vous déteste !
Alastair lui saisit les poignets, et plongea son regard dans le sien, les yeux d'un rouge ardent. Il aimait cette hargne, cette force en elle. Il n'avait pas perdu son temps avec elle. L'armée comptait un membre précieux.
— Ton père, Sonia. J'ai besoin de son appui. Le monde bientôt connaîtra un nouvel essor. Bientôt, mon enfant, la Création connaîtra un règne de liberté et de paix pour tout à chacun.
Sonia s'assit sur le bord du lit, séchant ses larmes magiques, et s'interrogeant sur sa place dans ce nouveau monde.
— Je vous connais. J'ai déjà entendu parler de vous dans ces soirées mondaines avec mon père. Vous êtes le Mande-Mort, n'est-ce pas ? On parle souvent de vous comme un monstre cruel et arrogant.
— Et on me parlait de toi comme une femme prude et réservée.
La jeune fille se mit à rougir. Il se mit à genoux et lui prit les mains.
— Sonia, tout ce que je cherche, c'est un havre de paix pour mon peuple.
— Mais je n'en faisais pas partie ! Pourquoi m'avoir tué !
— Nous sommes tous appelés un jour à la non-mort. J'ai ouï de cette maladie qui te rongeait. Je t'ai non seulement offert l'immortalité, mais aussi la jeunesse et la vigueur de tes vingt ans.
Les paroles du Mande-Mort ne la laissait pas indifférente. Elle devait avouer que cette nouvelle vie sans contrainte attisait sa curiosité, une aventure bien plus grisante que ces journées au château. Elle leva les yeux, lui sourit. Elle n'en revenait pas de s'être fait séduire si facilement.
— Allons-nous voir mon... l'ambassadeur ?
— Non, rétorqua-t-il dans un sourire florentin. D'abord, il faut te nourrir.


Dans l'univers...
Que pense-t-il de l’œuvre de la reine Adrietha ?
L'oeuvre idéaliste d'une candeur sans précédent.

Que pense-t-il de la politique de ta nation ?
Une pourriture sans nom.

Quelles sont les races ou les peuples que ton personnage aime particulièrement ?
Les non-morts.

Quelles sont les races ou les peuples que ton personnage hait particulièrement ?
Les vivants.

Où habite votre personnage ?
Dans les refuges des Malemorts.

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